Cantines : Le Parisien tique sur l’absence de quotient familial

Dans un article du 31 août dernier, le quotidien régional s’est penché sur les cantines scolaires yvelinoises. Le Parisien note la rareté des communes n’ayant pas instauré de quotient familial, qui permet de moduler le tarif des repas en fonction des revenus des parents : « C’est le cas notamment de Maisons-Laffitte et de Mantes-la-Ville où les repas sont facturés respectivement 4,50 € et 3,60 €, quel que soit le niveau de ressources des familles. » Il précise que dans les deux villes, le Centre communal d’action social (CCAS) peut pourvoir à 50 % de ce tarif auprès des familles en difficulté.