Entre février et juillet, la ville d’Achères et la SNCF ont constaté de nombreuses dégradations dues à des tags. Saisie de l’enquête, la police municipale a été chargée d’identifier les auteurs de ces dégradations. Après plusieurs mois d’analyses et d’informations recoupées, les agents de la sûreté urbaine ont convoqué trois mineurs qu’ils soupçonnaient de ces faits.
Des auditions ont donc été menées pour aboutir, la semaine dernière, aux aveux de l’ensemble des suspects. En alternative aux poursuites judiciaires, un accord a été trouvé entre les familles, la municipalité et la SNCF. Les montants engagés dans le recouvrement des tags seront rembourser. Un dédommagement de l’ordre de 6 000 euros qui permet de classer l’affaire sans suite.