Les habitants se sont faits remarquer par leur absence. « Ils ne se sentent pas concernés alors qu’ils se plaignent de l’affichage sauvage. Nous sommes une ville pavillonnaire où les murets et les grillages sont nombreux et donc des cibles pour cet affichage. Le froid, une réunion la semaine d’avant, la nuit sont sûrement à l’origine de ce manque de motivation », explique Béatrice Destison, deuxième adjointe en intercommunalité et développement durable.
En effet, les seules personnes présentes ont été Michel Pons, maire de Villennes, Daniel Louvet, conseiller municipal de l’opposition à Orgeval et Madeleine Hernandez, une commerçante.« La semaine dernière, lors de la réunion publique pour le plan local d’urbanisme, nous étions plus d’une centaine et nous avions fini à 3 heures du matin. J’avais expliqué en détails le principe d’affichage publicitaire aux commerçants venus nombreux », confie légèrement déçue Dominique Crinon, quatrième adjointe en urbanisme et gestion du patrimoine.