Dunlopillo-Cauval : des repreneurs au portillon

Lundi était le dernier délai pour présenter leurs offres de reprises de tout ou partie du groupe de literie Cauval, qui comprend les usines Dunlopillo de Mantes-la-Jolie et de Limay. Mise en redressement judiciaire depuis plus d’un mois, la société fait l’objet d’une demi-douzaine d’offres, dont deux qui concerneraient un rachat de l’ensemble du groupe, indique Le Monde. Ces dernières proviennent du groupe portuguais d’ameublement Aquinos, qui devait entrer au capital avant de se désister en février, et du fonds d’investissement Perceva, spécialisé dans le rachat d’entreprises en difficulté.