La mosquée d’Ecquevilly est fermée depuis le 2 novembre dernier sur décision du préfet des Yvelines, Serge Morvan. Quinze jours plus tard, le tribunal administratif de Versailles avait confirmé cette décision, en s’appuyant sur la note blanche fournie par les services de renseignement intérieur.
Un rejet notifié par une ordonnance « qui ne parle pas d’apologie de terrorisme » selon Vincent Brengarth, avocat de l’association islamique Malik Ibn Anas, chargée de la gestion du lieu de culte. Un recours devant le Conseil d’État devait être étudié ce lundi 5 décembre à 17 h. Me Brenghart réfute tout appel au djihadisme, rappelant que « le salafisme n’est pas interdit en France ».