Ce n’est qu’en repassant une deuxième fois, jeudi 31 août devant les ossements placés au milieu de gravats calcinés que cette promeneuse a compris qu’il s’agissait de restes humains. Alertés, les policiers ont passé une bonne partie de la nuit sur place afin de procéder aux premières constatations, indique Le Parisien.
Le corps aurait été incendié avec des pneus et appartiendrait selon le parquet de Versailles à « une personne âgée de plus de dix années et mesurant plus d’1,50 mètre ». Des cendres ont été prélevées afin d’essayer d’identifier la victime, ou son bourreau. Un travail colossal attend les enquêteurs puisque trois accès conduisent au chemin où ont été découverts les restes.
La police judiciaire de Versailles a été saisie. Pour le moment, aucune disparition inquiétante n’a été signalée dans la commune ou dans le département.