La police commune pourrait-elle encore s’agrandir ?

A l’inauguration des locaux de la police commune d’Epône – Mézières – Nézel, le maire epônois a confié que La Falaise réfléchissait à rejoindre le dispositif.

Les locaux réaménagés de la police pluri-communale d’Epône – Mézières-sur-Seine – Nézel, ont été officiellement inaugurés jeudi 15 mars. Depuis le début de l’année, les cinq policiers municipaux, plus celui à venir que Nézel est en train de recruter, travaillent ensemble dans les locaux jusque-là dédiés aux policiers épônois.

Initialement créé entre Epône et Mézières, Nézel a rejoint le dispositif en fin d’année dernière. Et une quatrième, mais dernière, commune pourrait aussi rejoindre la police pluri-communale. « On a été approchés par La Falaise qui est en train d’y réfléchir, confie Guy Muller (LR), maire d’Epône. Et je crois qu’on s’arrêterait là parce qu’il y a une homogénéité de territoire. »

« On a été approchés par La Falaise qui est en train d’y réfléchir », confie Guy Muller (LR), maire d’Epône.

Une police commune que voit d’ailleurs d’un bon œil la police nationale car elle permet « des interventions de proximité » selon Sandrine Carlin, commissaire de Mantes-la-Jolie. C’est des choses en moins à faire [pour la police nationale], ça nous permet de nous concentrer sur des choses que la police municipale ne peut pas faire. »