« Viols, coups, harcèlement. Quand est-ce-que ça bouge au gouvernement ? » Ce slogan a été prononcé à maintes reprises devant la gare par la quarantaine de manifestants, hommes et femmes, rassemblés le 8 juin pour la mobilisation nationale en faveur du féminisme. Organisée en ville par le collectif Fortes, fières, féministes radicales et en colère (FFFRAC), une manifestante explique que le but est de dénoncer le « modèle patriarcal » prôné, selon elles, par le gouvernement. Outre l’égalité salariale entre les hommes et les femmes, l’allongement du délai pour avorter, fixé à 12 semaines, était aussi demandé.