Deux radars de chantier vandalisés

Déployé depuis le lundi 1er février à Limay, un radar itinérant à déjà été tagué pour l’empêcher de sévir. Celui installé à Flins-sur-Seine a connu le même sort.

Plus de deux ans après, la fronde des Gilets jaunes sévit encore. Alors que la mise hors-service des radars automatiques, en signe de protestation, était à l’époque devenue monnaie courante, ces derniers jours deux automates de chantier ont été brouillés à la ­peinture.

Le premier avait été installé il y seulement quelques jours sur la D983, à l’entrée de Limay. Déployé le lundi 1er février son capteur, qui contrôlait la limitation de 80 km/h, est désormais peint en noir, comme le rapporte le site 78Actu qui a remarqué ces dégradation jeudi 4 février. Sur le radar, on peut également y lire le mot « vol », ainsi que les lettres « GJ », signifiant Gilets jaunes, peints aux couleurs du mouvement.

Dans la commune de Flins-sur-Seine, un radar du même type, installé depuis un moment le long de la D113, a également été visé par des coups de peinture ­similaires.