La biennale de danse de la communauté urbaine revient

La biennale de danse portée par la communauté urbaine revient pour une troisième édition. Des événements sont organisés dans plusieurs villes jusqu’au 6 février.

Sur quel pied danser ? Voici le nom de la troisième édition de la biennale de danse portée par la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GPSEO). Jusqu’au 6 février, plusieurs événements de danse sont ­organisés dans différentes ­communes. La Gazette en a sélectionné quelques-uns

Le 5 février, à 21h, à Mantes-la-Jolie, la compagnie Nathalie Pernette se rendra au centre aquatique Aqualude pour proposer au public un spectacle de danse contemporaine aquatique intitulé La mémoire de l’eau. « La chorégraphe Nathalie Pernette réussit un tour de force scénographique, en transformant une piscine en une salle de spectacle où se mêlent jeux de reflets et de couleurs, grâce à un étonnant travail de lumière », explique GPSEO sur son site internet. Accessible dès 10 ans, le tarif est de huit euros.

Le 14 janvier, à 20 h 30, le théâtre de la Nacelle, à Aubergenville, accueillera les 40 ans du ballet Jazz Art par la compagnie du même nom. Organisé par le conservatoire à rayonnement départemental (CRD) de Mantes-la-Jolie, les renseignements et les réservations se font auprès du CRD qui est joignable par téléphone au 01 34 77 88 88. Les tarifs, eux, varient de 5,50 euros en formule duo à 17,50 euros. « Ballet Jazz Art propose un répertoire aussi riche que varié faisant la part belle aux interprètes », détaille le communiqué sur le site internet du théâtre de la Nacelle, theatredelanacelle.fr.

Du côté de l’espace Maurice Béjart, à Verneuil-sur-Seine, la compagnie Monana et Chrysogone Diangouaya présenteront un conte théâtral, musical et dansé intitulé Le cri de la girafe. « C’est l’histoire d’une girafe qui est la plus grande et la plus élégante de tous les animaux. Elle se croit donc supérieure à eux. Dame Girafe aime se moquer d’eux […] mais un jour, un orage éclate et Dame Girafe tombe gravement malade. Mais quel animal va accepter de lui venir en aide ? » Pour le savoir, les spectateurs devront débourser huit euros par personne et les réservations se font par téléphone au 01 39 71 59 33 ou par courriel à l’adresse bejart@verneuil78.fr.

La danse néo-classique sera, elle, à l’honneur le 29 janvier, à 20 h 45 à l’espace culturel Jacques Brel, à Mantes-la-Ville. La compagnie chorégraphique François Mauduit y jouera son spectacle Casse-Noisette. « La merveilleuse partition de Tchaïkovsky met en exergue ici toute la magie, la passion et la tendresse que la vie de danseur offre à ses protoganistes et à un public toujours avide de rêve et d’espoir » explique le communiqué de la Ville sur son site internet, manteslaville.fr, en rappelant que Casse-Noisette est, encore aujourd’hui, « le ballet le plus joué au monde ».

Du rêve à l’amour, il n’y a qu’un pas. Le 4 février, à 20 h 30, le théâtre Simone Signoret, à Conflans-Sainte-Honorine, proposera au public de venir découvrir le spectacle À mon bel amour présenté par la compagnie Par terre. De la danse contemporaine, classique, hip-hop et waacking rythmeront la soirée. Ce dernier type de danse, d’origine afro-américaine, s’inspire de la musique funk et disco. Les tarifs varient entre 25 et 35 euros et la billetterie est accessible depuis le site internet du théâtre à l’adresse theatre-simone-signoret.fr.