« Quelle est votre position sur ce projet de l’État de la construction d’une maison d’arrêt à Magnanville ? » Cette question est celle posée par l’édile, Michel Lebouc (DVG), dans un courrier daté du 1er juin, aux candidats aux législatives des huitième et neuvième circonscriptions des Yvelines ainsi qu’aux maires du Mantois.
Rappelant que deux sites ont été identifiés par l’État dont l’un est situé à « 150 mètres des habitations et du lycée Senghor », le maire magnanvillois rappelle qu’il a proposé, le 14 mars, lors d’un conseil de pilotage mené par l’État en lien avec l’agence publique pour l’immobilier de la justice (Apij) « une troisième hypothèse, celle d’un autre site en dehors de Magnanville avec un moindre impact pour les collectivités locales ». L’édile affirme que des sites vont être étudiés pour vérifier la faisabilité de cette alternative aux deux sites actuels. « Êtes-vous prêts à défendre, avec moi, une troisième hypothèse comme je le porte ? », interroge Michel Lebouc.