Dans un article du 20 octobre, Le Parisien informe que Caroline et Julien, parents en couple d’une petite fille de 3 ans, avaient repéré un pavillon qui les intéressait dans la ville de Bouafle. 140 m² sur un terrain de 3 000 m², le couple s’était rapidement enthousiasmé pour cette demeure. L’article du Parisien relate que « la maison était à réhabiliter, et on a découvert qu’elle avait été habitée par une personne souffrant de trouble d’accumulation compulsive (Syndrome de Diogène, Ndlr) », informe le couple. Une maladie bien réelle qui a laissé place à une affreuse découverte : au-delà du grand désordre qui règne dans le pavillon, c’est surtout la forte odeur d’urine de chat qui incommode les acheteurs potentiels. « J’en ai vomi, se remémore Julien. On voyait des traces sur les murs et les plinthes et je me doutais que tout devait en être bien imprégné… »
22 boîtes de plastiques, contenant chacune un chat en décomposition, ont alors été retrouvées dans le cabanon du jardin, découvert par Julien et ses amis sous les yeux de sa fille. « Elle est encore sous le choc », reconnaît le papa, qui a immédiatement fait venir un huissier et prévenu la gendarmerie. « Ils nous ont dit qu’ils n’avaient jamais vu ça », ajoute Julien. Une enquête pour maltraitance animale a été ouverte et une autopsie est en cours à Maisons-Alfort. Le couple songe aujourd’hui à en écrire un livre ayant pour titre « Du rêve au cauchemar ».