Jeunes, seniors, citoyens, agents et élus ont participé à un temps d’échange, le mercredi 8 février dernier, afin de définir les contours d’un plan municipal de lutte contre le harcèlement. Qu’il soit numérique, scolaire ou de rue, il est devenu une véritable préoccupation nationale qu’il devient urgent de résoudre.
« Trop souvent, on considère que la prévention du harcèlement relève strictement de la responsabilité de l’Éducation nationale, explique Eddie Aït, maire SE de Carrières-sous-Poissy dans un communiqué. Or il est évident que l’enfant peut être victime de harcèlement hors du temps scolaire ; cette prévention relève donc d’une obligation morale. Les collectivités, et particulièrement les communes, peuvent par exemple aider à combler des lacunes de coordination entre les acteurs éducatifs et périscolaires dans les écoles. »
De premières actions ont été retenues par les participants, dont l’organisation d’une opération « Courir contre le harcèlement », une participation à la Journée nationale de lutte contre le harcèlement, ou encore le lancement d’une campagne municipale d’information et de prévention, ainsi que le financement d’actions de préventions et de lutte contre le harcèlement.