Triel à venir ouvre la porte au ralliement avec d’autres listes

Pour les municipales, le groupe de travail Triel à venir envisage l'éventualité de fusionner avec d’autres listes. C’est l'une des conclusions de la conférence de presse du 24 octobre.

C’est un groupe de travail qui se forme autour du directeur de publication du Journal des Deux Rives, Rodrigo Acosta, et de Martine Cartier, représentante de l’association Bien vivre à ­l’Hautil (elle s’engage dans cette camapgne à titre personnel et non au nom de l’association, Ndlr). Constitué d’une « vingtaine de personnes », le groupe Triel à venir n’écarte pas l’éventualité de converger avec d’autres listes. C’est une des informations issue de la conférence de presse jeudi dernier.

« Aujourd’hui, on risque de se retrouver avec six listes à Triel, précise Martine Cartier de la situation. Ça fait une offre plutôt pléthorique […] Il y a sans doute d’autres listes qui ne sont pas très éloignées de ce qu’on préconise. » De l’éventualité du ralliement, l’intéressée ajoute qu’il « n’est pas inenvisageable ».

Pour Rodrigo Acosta, une condition demeure : « Je veux que la ville soit une ville post-carbone en 2030. Les gens qui viennent travailler avec nous doivent être capables de converger vers cette idée là. » Si toutefois aucune fusion n’avait lieu d’ici à la fin de l’année, le groupe Triel à venir se portera candidat aux municipales. « Si on n’arrive pas à faire ça, on serait en mesure d’y aller tout seul » affirme Rodrigo Acosta.

Mise à jour du 5/11 : Une précision a été ajoutée concernant l’engagement, à titre personnel de Martine Cartier. La Gazette présente ses excuses à la principale intéressée et à ses lecteurs.