Mantes ne ment pas

L’agression d’un conseiller municipal d’opposition par un adjoint au Maire, d’ailleurs plus connu pour son gabarit de grand frère que pour ses prouesses intellectuelles, est une première, de mémoire dans la vie politique mantaise. Même les coups de Jarnac à la Libération de la Ville qui avaient permis d’élire un maire de centre-droit par un conseil municipal de gauche n’avaient donné lieu qu’à des violences verbales. Ajoutons à cela que le très courageux et très pur Ravi des Martraits signe son forfait en s’enfuyant alors qu’il est témoin de l’agression avec son adjoint à tout faire, et en communiquant ensuite… qu’il ne s’est rien passé. Où est la vérité ? Comment en est on arrivé là, faisant de Mantes-la-Jolie la risée des communes de la communauté urbaine GPSEO ?

Petit retour en arrière.

Lors des dernières municipales pour être sûr d’être élu le Prince de Mantes à tout promis à tous et à même pactisé avec des personnalités douteuses du Val-Fourré qu’il a même fait élire. En conséquence il y a aujourd’hui une majorité fracturée avec des gens honnêtes et de bonne foi qui ont cru à la chanson de Cognet se présentant comme un preu chevalier anti-corruption et qui découvrent que le personnage est entouré de drôles de loustics, prônant le fait comme je te dis et surtout pas le dis ce que je fais, des drôles de loustics qui au fur et à mesure que se révèlent leurs mensonges et leurs combines se raidissent et transforment leur petit pouvoir en forteresse pour conserver leurs avantages.

Et il y a fort à parier que d’ici mars 2026 les choses vont s’aggraver. C’est toujours ainsi quand l’ange se fait démon !